Depuis quelques mois, le matcha fait face à une pénurie mondiale. La demande explose : cafés, pâtisseries, réseaux sociaux, bien-être… tandis que la production japonaise, elle, reste très limitée. Le matcha de qualité exige un savoir-faire rare : feuilles ombragées, récolte minutieuse, broyage lent sur meule de pierre. Une tradition qui ne peut pas s’industrialiser.
À cela s’ajoutent des récoltes plus faibles et un manque de main-d’œuvre au Japon, ce qui crée un vrai déséquilibre : plus de demandes, moins d’offre. Résultat : des prix en hausse et des ruptures fréquentes dans le secteur.
Pour les amateurs, c’est l’occasion de revenir à l’essentiel : choisir un matcha traçable, pur et authentique, loin des poudres “vertes” de qualité douteuse qui circulent de plus en plus.
À l’épicerie, nous avons fait le choix de travailler avec Anatae, une maison engagée qui propose un matcha japonais de haute qualité, respectueux des méthodes traditionnelles.
Pour profiter pleinement de ce “thé vert d’exception”, misez sur la qualité, la transparence et le savoir-faire — les trois piliers d’un vrai matcha japonais.

